Fiches individuelles


FOURNET Arnaud Michel André
ingénieur de la société Peugeot

Naissance :
Naissance :
Naissance :

Père : FOURNET Marcel Charles Abel (1941 - ?)
Mère : LEMAIRE Michèle Hélène Alice (1942 - ?)

Union : YANG Jie (? - ?)
Enfants : FOURNET Victoria (? - ?)
FOURNET Justine (? - ?)

FOURNET Arnaud Michel André
FOURNET Marcel Charles Abel
FOURNET André Georges Abel Joseph
LESNE Eugénie
LEMAIRE Michèle Hélène Alice
 
 




FOURNET François - 256
journalier

Naissance : 1649
FOURNET s’écrivait FOURNEZ.
Décès : 2 novembre 1709 à Acq - 62

Union  : CANDAS Françoise (? - ?)
Mariage : février 1694 à Acq - 62

Union  : HEMERY Marie (? - < 1694)
Enfant : FOURNET Alexandre (1686 - 1761)

Note familiale :
1) Lors de son décès en 1709, on déclare que François FOURNEZ est inhumé vis à vis d’un aïeul. Il y avait donc des FOURNEZ à Acq vers 1600. Vers 1680 à Acq, il y a un autre François FOURNEZ, époux de Marie WARNIER, peut-être un cousin du n°256.
2) Lors du CM en date du 3-2-1712 à Arras ( Mes MANNESSIER et LIBESSART) entre François FOURNEZ, fils des feus François FOURNEZ et Marie EMBRIE, avec Marie CAUCHY de Frévin Capel, on cite comme témoins du mariant: Alexandre FOURNEZ son frère (n°128) et Isabelle FOURNEZ sa soeur.
3) Lors du CM du 18-10-1715 entre Isabelle FOURNEZ et Jean LERISSON, le nom de la mère est orthographié DEMBRY; elle a comme témoin Alexandre FOURNEZ son frère (n°128).
5) Lors de son second mariage avec Françoise CANDAS, François FOURNEZ est dit veuf en premières noces de Marie HEMERY, EMBRIE mal entendu ayant été retranscrit HEMERY.
6) Dans le Centième de 1569, i l y a un Antoine FOURNEL à Etrun, un Jean FOURNÉ demeurant à Pénin, un Pierre FOURNEL de Brebières, et à Acq on rencontre Isabelle et Marie FOURNIER / FOURNIEZ. .

Note individuelle :

Contrat de mariage du 3-2-1712 entre
François FOURNEZ et Marie Isabelle DECAUCHY
(AD 62 4E18/268)



Comparurent en leurs personnes :
* François FOURNEZ, ménager demeurant au village d’Acq, fils de feus François et Marie EMBRIE, assisté d’Alexandre FOURNEZ son frère et de Isabelle FOURNEZ sa soeur, demeurans au dit Acq d’une part ;
* Marie Isabelle DECAUCHY, veuve de Guillain DEMONCHY, demeurante à Frevent Capelle, fille de feus Pierre et Simone CLEMENT, assistée de François DECAUCHIE son frère, d’Antoinette et Marie Jeanne CAUCHIE ses deux soeurs, de Jacques CAUCHIE son oncle et de François LEJOSNE son bon amy et bienveuillant d’autre part.
Et reconnurent pour parvenir au traité de mariage pourparlé entre les dits François FOURNEZ et Marie Isabelle DECAUCHIE lequel au plaisir de Dieu se fera parfera et solemnisera en notre mère la Sainte Eglise, mais paravant qu’entre eux il ait aucunes foy promesses ou autres liens de mariage et ont convenu de leurs portements retours devises et conditions comme s’ensuit.
Premièrement, pour ce quy est des portemens des futurs marians, ils ont respectivement déclarés d’en estre contens et bien apaisez sans qu’il soit besoin d’en faire une déclaration spécifique.
Ce fait a esté traité et conditioné que arivant la dissolution de ce présent mariage, soit que d’iceluy il y en ait enfant vivant ou non, né ou apparant à naistre, le survivant d’eux deux demeurera propriétaire incommutable de tous les biens meubles et effets réputez tels de leur communauté, ensemble de tous les amazemens et batimens qu’ils feront construire pendant leur conjonction, et sera outre ce, viager des imeubles que le prémourant délaissera en payant par luy toutes dettes obsecques funérailles, et quant aux acquests que les marians pourront faire durant leur conjonction de quelle nature et condition ils soient, et où scituez et assis soit fief, ancien manoir, main ferme, cotteries maison, ou bien scitué en eschevinage comme autrement, soit que la mariante soit dénommée ès contract saisie ou non le survivant en jouira de la totalité sa vie durante scavoir : de la moitié propriétairement, et de l’autre usufructuairement pour après son trespas la dernière moitié retourner aux héritiers du prédécédé en payant par eux la moitié de ce quy pourroit estre resté du au jour du trépas du prémourant, à raison des dits acquests esquels seront compris tous retraits lignagers quy suiveront néantmoins le lez et costé d’où ils procéderont en rendant par les héritiers en profitans à ceux de l’autre costé n’en profitans pas la juste moitié des deniers emploiez pour y parvenir, le tout nonobstant tous us stils coutumes et autres rigeurs de droit à ce contraires ausquels ils dérogent et renoncent par cestes , à quoi faire tenir entretenir payer et accomplir ils obligent l’un envers l’autre leurs biens présens et avenir y accordans main assise et mise de fait aux dépens de quy il appartiendra, domicile eslu à la Maison Rouge à Arras, et à juges MM du Conseil d’Artois, renonçans à toutes choses à ces contraires ; fait et passé à Arras le 3 février 1712 pardevant notaires royaux d’Artois soussignez avec les parties .
Le dit Jean François DECAUCHY frère de la mariante a déclaré qu’il donnera laissera pendant qu’il restera à marier aux marians la jouissance d’un manoir amazé contenant boistellée 1/2 à charge de par eux acquitter les rentes centièmes et toutes autres impositions entretenir les batimens du dit manoir de menues réparations blanchir le linge du donateur et qu’il luy sera permis d’aller demeurer avec eux jusqu’à ce qu’il se marie si bon luy semble. Et ont signé : marques des présents, et comme notaires MANNESSIER et LIBESSART.


Contrat de mariage du 5-2-1715 entre
François FOURNEZ et Bergitte DE MONCHY
(AD 62 4E 18/291)

Pardevant les notaires royaux d’Artois furent présens :
* François FOURNEZ ménager demeurant à Frévin Capel, fils de deffunct François et de Marie EMBRIE, veuf de Marie CAUCHY, assisté de François CAUCHY son beau-frère à marier demeurant au dit Frévin d’une part ;
* Bergitte DE MONCHY jeune fille à marier des deffuncts Philippe et Antoinette DENIS demeurant au dit Frévin, assisté de Pierre MONCHY son frère demeurant au dit Frévin et de Marie Catherine LIEVRE sa cousine d’autre part .
Et reconnurent les dites parties que pour parvenir au traité de mariage meu et pourparlé lequel au plaisir de dieu se fera passera et solemnisera en face de Nostre Mère la Sainte Eglise et paravant qu’entre eux y en ait aucune foy ny promesse de mariage leurs portées respectifs avec leur devis retours et conditions cy après déclarés ont esté dit et stipulé convenus et arresté de la manière qui suit scavoir :
Quant au portement du mariant il déclare avoir en meubles meublans et autre effets pour la valeur de 100 £ une fois suivant la prisée et estimation qui en at esté faite par les gens de loix du dit lieu dont la moitié luy appartient ; et l’autre à Marie Joseph FOURNEZ sa fille issue de sa première conjonction, pour fourniture mobiliaire de sa mère à laquelle appartiendra encore deux jupes de sa mère une verde et une brune, duquel portement la dite mariante a déclaré se tenir contente.
Et au regard de celuy de la mariante elle n’en fera aucune déclaration d’autant que le mariant a déclaré s’en tenir content.
Ce fait a esté traité et convenu qu’arrivant le prédécès de l’un ou de l’autre des mariants soit qu’il y ait enfans vivans ou non de leur conjonction, le survivant sera propriétaire et demeurera dans tous les biens meubles et effets de leur communauté acquests et conquests en payant les dettes obsecques et funérailles, sauf les immeubles qui appartiendront et pourront succéder aux dits mariants qui suivront leur coste et ligne et retourneront à leurs h éritiers en payant par eux au dit survivant la valeur des batiments qui pourroient estre ériges sur iceux au dire d’experts le tout nonobstant tous les coutumes entravestissement de sang ou de lettres à ce contraire à quoy les dites parties ont renoncé et renoncent par ces présentes, ce qu’ils promettent respectivement tenir entretenir et le tout entiérement accomplir y accordans toutes seuretés requises, domicil esleu à la maison rouge à Arras, aceptans à juges messieurs du Conseil d’Artois, renonçans à toutes choses contraires. Passé à la cité d’Arras le 5 février 1715 par devant que dessus, après que le dit Pierre DE MONCHY comparant a déclaré qu’en cas qu’il meure sans enfans de légitime mariage il institue la mariante sa soeur son héritière universelle et ont signé : marque du dit François FOURNEZ, de la dite Bergitte DE MONCHY, François CAUCHY, Pierre DE MONCHY.

Contrat de mariage du 8-10-1715 entre
Jean LERISSON et Isabelle FOURNET
(4E24/1)



Comparurent en leurs personnes :
* Jean LERISON, de la ville de Florence en Gasconne, évêché d’Aux (Auch), relict de Roze BERTON, demeurant au village de Vanctin d’une part ;
* Izabelle FOURNET, fille à marier de François et de Marie EMBRÙE, demeurant au village d’Ack, assisté d’Alexandre FOURNET son frère d’autre part.
Et recognurent respectivement lesdites parties comparant que pour parvenir au traité de mariage meu et pourparlé entre ledit Jean LERISON et laditte Izabelle FOURNET, lequel se fera et solemnisera en nostre mère Saint Eglise en la forme et manier acoustumé, mais auparavant qu’il ait aucuns fois ou promesse de mariage entre eux, leur portement retours et conditions d’iceluy ont esté dit et stipullé ainsy que s’ensuit.
Scavoir quand à leur portement respectif ils ont déclarée s’en tenir content et bien apaisé sans qu’il en soit icy fait aucune déclaration espécification d’autant qu’il consistent en fort peu de chose, ayant au surplus esté convenus et stipulé entre eux lesdites parties comparant qu’au cas arivant les déced de l’un ou de l’autre desdits futurs marians, soit que de leur conjonction il y ait enfans vivant apparant à naistre ou non, le dernier vivant d’eux deux demeurera en tous biens moeubles or argent et autres effects mobillaires de leur communautté aussy bien que de tous les autres biens immoeubles acquest et conquest qu’il leur peut appartenir, et ceux quy pourront leur eschoir et subvenir cy après pour en jouir en toutes propriétté et en pouront disposer vendre et alliéner ainsy et comme bon leur semblera, de quoy il seront et demeureront libre à charge et conditions de paier toutes les debte obsecques et funérailles, à l’entretenement et accomplisement de ce que dessus lesdites parties ont obligé leur biens présent et advenir sur lesquels elles accordent toutes oeuvre de lois au despens de quy il appartiendra.. Domicille esleu à la Maison Rouge Arras, aceptant à juges M du Conseil dÔArtois, renonchant à toutes choses à ce contraire, et ce nonobstant tout loys uze ou coutume à ce contraire à quoy lesdites parties ont dérogés et dérogent par ces présentes la dite future espouse au droit de sénatus consultus Vellient et à l’autenticque sy qua mulier à elle donné à entendre qu’ele a déclarée avoir bien entendue.
Ainsy fait et passé en la ville d’Arras le 18 d’octobre 1715 ; estoient signé : marques de Jean LERISON, Izabelle FOURNET, Alexandre FOURNET, et comme notaires P DOUCHET et P GELLÉ.






FOURNET François Joseph - 8
cordonnier

Naissance : 25 octobre 1829 à Acq - 62
Décès : 21 février 1891 à Acq - 62

Père : FOURNET Pierre Joseph (an IV - 1846)
Mère : CRETON Marie Joseph Vindicienne (an IV - 1866)

Union : BRIDOUX Amaranthe Augustine Joseph (1833 - 1896)
Mariage : 10 mai 1853 à Camblain-l’abbé - 62

Enfant : FOURNET Albéric Pierre Joseph (1871 - 1941)

FOURNET François Joseph
FOURNET Pierre Joseph
FOURNET Alexis Joseph
GODART Marie Augustine Ferdinante
CRETON Marie Joseph Vindicienne
CRETON Antoine Louis
CANDELIER Marie Ludivine Mélanie




FOURNET Justine
Père : FOURNET Arnaud Michel André (? - ?)
Mère : YANG Jie (? - ?)

FOURNET Justine
FOURNET Arnaud Michel André
FOURNET Marcel Charles Abel
LEMAIRE Michèle Hélène Alice
YANG Jie
 
 


                     


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